Histoire du bassin de Saint-Vaast-la-Hougue

Notre histoire :

Le saviez vous ? On pratique l’ostréiculture à Saint-Vaast-la-Hougue dès le XVI siècle, les huîtres étaient conservées à même le sol dans des parcs entourés de petits murets en pierre devant l’île de Tatihou qui existe encore aujourd’hui et qui fait le charme et la fierté des ostréiculteurs de la région. À la fin du siècle dernier, les huîtres creuses portugaise qui avait remplacé l’huître plate furent décimée à la suite d’une maladie. C’est à partir de 1920 que la profession commence doucement, mais sûrement à se développer avec les premiers parcs installés dans l’Anse du Cul de Loup. C’est à partir des années 1960-1970 que le métier connait un véritable bon en avant avec l’arrivée de l’huître japonaise (Crassostrea Gigas) après qu’une maladie touche les huîtres portugaises. Mais ce n’est pas tout, il y a eu l’avènement des nouvelles techniques d’élevage comme la poche surélevée sur des tables (et non plus a même le sol comme les anciens ont fait) ce qui a permis aux métiers de se développer.

Histoire de l’entreprise familiale : « Les huîtres, c’est une passion »

L’histoire de l’entreprise familiale commence en 2005 quand notre père Marc Dezenclos après plus de quinze ans ouvriers ostréicole dans une entreprise de Saint-Vaast, décide de se lancer dans l’aventure en créent sa propre entreprise avec notre mère Georgette et notre grand frère Yohann, le troisième Alexandre intègre l’entreprise l’année suivante. Au début, nous avions commencé dans un petit atelier à côté de la maison familiale pendant quelques années, mais après des années d’effort, ce fut la consécration avec la construction de notre bâtiment en 2019 et l’augmentation de la production. Durant la même année, notre frère Nicolas nous à rejoint dans l’entreprise et encore aujourd’hui nous travaillons exclusivement en famille, notre père, notre mère et leurs deux fils à leurs côtés. Alexandre et Nicolas entreront en tant que co-gérant dans la société aux côtés de leur père en 2022 pour préparer la succession à la seconde génération, mais même proche de la retraite, Marc n’est jamais loin pour prodiguer son expérience.